Dans un contexte mondial marqué par des changements socio-économiques rapides et par la nécessité impérieuse de répondre aux enjeux de durabilité, d’équité et d’innovation, le besoin de repenser les politiques publiques et les pratiques de management se fait plus pressant que jamais. L’objectif de notre symposium est de catalyser une réflexion profonde sur la réorientation des cadres de gouvernance et des modèles managériaux vers plus d’inclusion sociale et d’innovation. Nous invitons la communauté académique, les décideurs politiques, les praticiens du management et les acteurs de l’innovation sociale à se réunir pour un dialogue enrichissant et multidisciplinaire. Notre ambition est de décloisonner les savoirs, favoriser les échanges transversaux et mettre en lumière des pratiques novatrices et inclusives qui permettent de créer les conditions favorables fédératrices des différentes parties et de co-construire des solutions répondant aux défis contemporains, et qui concernent à la fois les politiques publiques et le secteur privé.

Les objectifs du symposium

L’objectif est de partager des connaissances et des expériences, d’identifier les bonnes pratiques et de proposer des solutions innovantes pour :

• Promouvoir l’inclusion sociale : Comment les politiques publiques et les pratiques de management peuvent-elles contribuer à réduire les inégalités, à garantir l’accès de tous aux services essentiels ?
• Encourager l’innovation sociale : Quels sont les leviers et les obstacles à l’innovation sociale ? Comment les politiques publiques et les pratiques de management peuvent-elles favoriser le développement de solutions innovantes aux défis sociétaux ?
• Renforcer la collaboration entre les acteurs : Comment les chercheurs, les praticiens et les décideurs politiques peuvent-ils collaborer plus efficacement pour repenser les politiques publiques et les pratiques de management ?

Types de contribution

• Les papiers de recherches : Communications proposées par des docteurs, des enseignants chercheurs et des doctorants. Les papiers ne doivent pas dépasser48 000 caractères (15 pages).
• Les travaux de recherche en cours : Lors de ce congrès international une session spéciale «jeunes chercheurs» (Atelier doctoral) sera organisée. Cette demi-journée constitue une occasion pour les doctorants de présenter leurs états d’avancement et travaux en cours (5 à 6 pages) et de discuter des questions touchant aussi bien à leur domaine de recherche qu’à leurs activités de chercheur. L’Atelier doctoral est ouvert à tous les doctorants actuellement inscrits en deuxième année de thèse et plus.

Procédure de soumission

Les contributeurs sont invités à soumettre une proposition sous format Word en Arabe, Français ou Anglais, impérativement à l’adresse électronique suivante : isipo.laredgo@hfeinstitute.com 

Le texte intégral, ne dépassant pas 15 pages, doit être rédigé selon le format suivant :

• Format A4.
• Marges (supérieure, inférieure, gauche, droite) de 2,5cm.
• Police : Times New Roman (12 points), interligne simple et justifié.

Toutes les propositions doivent comprendre une page de présentation. Celle-ci n’est pas comptée dans le nombre de pages maximal. Elle comporte :

• Le titre de l’article (Times 20 gras) ;
• Le(s) nom(s) de(s) auteur(s) (Times 12 gras) ;
• Les affiliations et adresses (Times 12) ;
• L’adresse électronique (Times 12) ;
• Un résumé à interligne simple d’environ 250 mots, contenant un minimum de cinq mots clés (Times New Roman 12) ;

Autres précisions :

• Les tableaux et figures doivent être intégrés dans le texte avec un titre ;
• Les notes nécessaires seront mises en bas de page ;
• À la suite de l’article, on fera successivement apparaître :

– Les références bibliographiques, par ordre alphabétique des auteurs.

Ouvrage : NOM, Initiale du Prénom., (Année), Titre de l’ouvrage, Lieu de publication : Editeur, x p. Par exemple : BEAUD, M., (1985), L’art de la thèse, Paris : Editions La Découverte, 156 p.

Article : NOM, Initiale du Prénom., (Année), « Titre de l’article », Nom du périodique, Volume (n°), pp. x – y. Par exemple : MIGNON, S., (2009), « La pérennité organisationnelle : un cadre d’analyse ». Revue Française de Gestion, vol 2, n°192, pp.75-89.

Référence Internet : NOM, Initiale du Prénom., (Année), « Titre du document », http://adresse complète (consulté le jour/mois/année).

– Les annexes.